Absurdité
Dans cette série de photographie, la notion d’absurde est le maitre mot.
Le monde est désespérant, révoltant ! Cherchons à le changer par l’art. L’absurde est à notre époque une arme pour la critique d’un Etat contesté (exemple « les guinols de l’info »). L’absurde, le burlesque, le non sens tentent de révéler les mécanismes sous-jacents de notre société (pour peut être mieux vivre avec ?), contrairement aux postures critiques qui proposeraient explications et solutions.
Le processus de fabrication de ces photographies est très simple. Il se crée via un contexte social et historique de sens et de valeur ; mais aussi à partir de l’observation d’une loi générale qui tente d’être renversée. Est donc burlesque un corps en lequel s’opère l’inversion de polarités, que cette dernière s’applique aux lois physiques de la gravité et de l’apesanteur, aux lois sociales de la compétence et de l’incompétence, aux lois musculaires ou morales de la force et de la faiblesse.
L’absurde est un décalage entre l’attente de l’homme et l’expérience qu’il fait du monde.
Passer pour un idiot dans une société où il faut absolument être performant, utile et intelligent tout en ayant des dents bien blanche est une forme de contestation moqueuse.
L’anachronisme ainsi que l’absurdité présents dans ces photographies nous permettent de mettre l’accent sur l’évolution de l’homme, de ses actes mais surtout de ses multiples expériences et échecs.
Ces photographies revisitent l’existence de l’homme tout en détournant ses ambitions comme ses erreurs.
Le monde est désespérant, révoltant ! Cherchons à le changer par l’art. L’absurde est à notre époque une arme pour la critique d’un Etat contesté (exemple « les guinols de l’info »). L’absurde, le burlesque, le non sens tentent de révéler les mécanismes sous-jacents de notre société (pour peut être mieux vivre avec ?), contrairement aux postures critiques qui proposeraient explications et solutions.
Le processus de fabrication de ces photographies est très simple. Il se crée via un contexte social et historique de sens et de valeur ; mais aussi à partir de l’observation d’une loi générale qui tente d’être renversée. Est donc burlesque un corps en lequel s’opère l’inversion de polarités, que cette dernière s’applique aux lois physiques de la gravité et de l’apesanteur, aux lois sociales de la compétence et de l’incompétence, aux lois musculaires ou morales de la force et de la faiblesse.
L’absurde est un décalage entre l’attente de l’homme et l’expérience qu’il fait du monde.
Passer pour un idiot dans une société où il faut absolument être performant, utile et intelligent tout en ayant des dents bien blanche est une forme de contestation moqueuse.
L’anachronisme ainsi que l’absurdité présents dans ces photographies nous permettent de mettre l’accent sur l’évolution de l’homme, de ses actes mais surtout de ses multiples expériences et échecs.
Ces photographies revisitent l’existence de l’homme tout en détournant ses ambitions comme ses erreurs.
Loïc Marchand
the fisher Man
photographies
2014
Loïc Marchand
the Neanderthalus
photographies
2014
Loïc Marchand
l'âge de pierre de l'homme moderne
crédits Photographie: Adeline Gouyette
2014
Loic Marchand
surtension
crédits photographie: Renaud Seveau
2009
Loïc Marchand
L'envol
crédits Photographie: Agnés Genay
2008
Loïc Marchand
J.U.M.P
photographie
2008
Loic Marchand
NO WALK NO WORK
photographie
2010
Loïc Marchand
BUNNY FACE
Photographies
50x70cm
Le terme anthropomorphisme désigne la tendance à attribuer aux animaux des caractéristiques propres à l’Homme.
Le point de départ de ma réflexion sur l’anthropomorphisme se situe dans une remise en question de mon rapport au monde et à l’autre.
Aimé ou redouté, l’animal a toujours fasciné l’Homme. Sa réalité ou sa figure ont eu et ont toujours pour effet de renvoyer l’humanité à ses peurs, aux excès de ses propres comportements par la construction de mythes, de récits fabuleux opérant comme un miroir. Cette relation paradoxale entre haine et amour est l’expression d’une attitude anthropomorphe, c’est à dire de la manière dont l’Homme projette ses sentiments et ses émotions sur l’animal.
Le point de départ de ma réflexion sur l’anthropomorphisme se situe dans une remise en question de mon rapport au monde et à l’autre.
Aimé ou redouté, l’animal a toujours fasciné l’Homme. Sa réalité ou sa figure ont eu et ont toujours pour effet de renvoyer l’humanité à ses peurs, aux excès de ses propres comportements par la construction de mythes, de récits fabuleux opérant comme un miroir. Cette relation paradoxale entre haine et amour est l’expression d’une attitude anthropomorphe, c’est à dire de la manière dont l’Homme projette ses sentiments et ses émotions sur l’animal.
Le lapin est adopté comme symbole un peu partout dans le monde et
le marketing s’en est également emparé, créant des mascottes célèbres (Playboy, Nesquik), en
image, en peluche, en chanson ou en personnage de fiction (Donnie Darko, Alice au pays des
merveilles). Les lapins font partis des classiques de l’univers enfantin (Jeannot lapin).
Bunny face
photographies
2013
S.L.I.T.C.H
photographies
2011